Rien n’est inéluctable – vous pouvez changer le scénario imposé !

Vous pouvez changer le scénario qu’on cherche à vous imposer et changer l’avenir qu’on vous propose !

C'est à nous de faire briller notre avenir - Photo de Patrick Huet.

Quelle que soit votre situation, quel que soit l’état du monde et de la société dans lesquels vous vous trouvez, vous possédez en vous vous le ressort nécessaire pour modifier l’avenir… notamment celui qu’on cherche à vous imposer en vous déclarant à tout va que « c’est inélectuable » .

Eh bien, non ! Rien n’est inéluctable. Vous pouvez refuser les scénarios futurs. Vous pouvez dire « non » ! Vous pouvez dire « je n’accepte pas » et je vais travailler pour qu’il se passe autre chose que ce que vous voulez me convaincre.

Le mensonge de la formule  » c’est inéluctable  » que l’on vous matraque pour obtenir votre soumission.

Depuis les ouvrages et des films de science-fiction qui, quasiment tous, nous assènent que l’on finira en ruine, en train de s’étriper les uns et les autres dans des villes anéanties de décombres, jusqu’aux films de zombies, le seul avenir qu’ils mettent en scène, c’est l’effondrement total de nos civilisations.

Il s’agit là de quelque chose de similaire au matraquage publicitaire. A savoir : sous un enrobage artistique, faire en sorte que les populations soient convaincues que l’avenir ne débouchera que sur cette perspective, l’effondrement et la ruine.

Le même modèle utilisé aujourd’hui pour nous faire croire que la guerre et le contrôle des humains sont inéluctables .

Le même type d’assertion est utilisé de nos jours dans les différents secteurs primordiaux de la société pour nous convaincre que « c’est inéluctable » : inéluctable la famine, inéluctable les restrictions, inéluctable le « blackout » (l’effondrement de l’électricité) en Europe. Parce que ceci ou parce que cela.

La méthode ? Comme pour toute campagne publicitaire, répéter encore et toujours le même scénario, avec différents arguments, pour convaincre la population que, effectivement, c’est inéluctable, et donc obtenir qu’elle ne songe même pas à s’y opposer.

Non ! Vous pouvez changer le scénario qu’on veut vous voir accepter.

La première chose est déjà ne pas l’accepter.

Ensuite, construire un nouveau scénario. Comment ? En reprenant le contrôle des institutions !

La meilleure façon de procéder est de reprendre le contrôle des institutions, reprendre les rênes de la société.

Un exemple tout simple, reprendre le contrôle des syndicats.

Supposons que le syndicat de votre secteur refuse de défendre la liberté et les droits des travailleurs, mais se range du côté de l’oppression (par différentes envolées rhétoriques), votre réflexe serait de le quitter. C’est compréhensible, mais ce n’est pas la bonne attitude… Pas à notre époque.

Au contraire, il faut rester… et prospecter parmi vos amis, vos connaissances, vos collègues pour qu’ils prennent leur carte d’adhésion par dizaines. Ceci fait, vous avez alors le nombre suffisant pour peser sur la direction du syndicat afin qu’elle change d’orientation.

Si la direction refuse, alors vous réclamez la tenue d’une assemblée générale extraordinaire. Si vous êtes suffisamment nombreux, vous êtes majoritaires et de ce fait, vous pouvez demander la tenue d’une telle assemblée au cours de laquelle vous révoquez les dirigeants actuels pour les remplacer par de véritables défenseurs de la liberté.

Même démarche pour toutes les institutions, et les associations culturelles ou professionnelles.

Si les responsables de ces organismes persistent à se ranger du côté de l’oppression, vous y adhérez par dizaines, par centaines ou par milliers de citoyens, et vous en reprenez la direction.

Pas besoin de sécession, de révoltes armées ou de tueries !

Une société, cela se change de l’intérieur, pas en faisant sécession ou en montant à l’assaut avec des armes.

Ne laissez pas le camp de l’oppression diriger les institutions, mais reprenez les rênes de tous ces organismes. C’est ainsi que vous changerez le scénario qu’on voudrait vous voir accepter.

C’est à nous, citoyens libres et honnêtes, d’entreprendre cette reprise en main de la société et de notre avenir. Du travail nous attend, mais c’est un travail passionnant.

(Patrick Huet.)

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