A lire le début du poème géant.
Publier l’ensemble de ce poème géant, qui mesure près d’un kilomètre de long, sur une page internet n’aurait pas été très pratique. Cela convient mieux à un livre qui offre davantage de facilité de lecture.
Remarque sur le livre.
Ce texte a également été publié dans un livre, voir à cet effet la rubrique « Livres » . Pour ceux intéressés par le texte complet de ce poème, nous les invitons à consulter la page « présentation » de son contenu.
Donc, plutôt que de tout publier tel quel sur Internet, nous avons choisi de reproduire un certain nombre de passages. Ceux-ci sont différents de ceux publiés dans l’ouvrage « Extraits choisis du poème d’un kilomètre« , hormis le début qui est essentiel pour la compréhension de ce que représente un acrostiche.
Au fil du temps, nous publierons dans les pages ci-contre de nouveaux extraits selon un ordre qui respecte les écrits de l’auteur.
Les premiers vers du poème géants.
Information aux lecteurs.
1 – Pour permettre aux lecteurs de se repérer dans l’immensité de ce poème (qui comporte 7550 vers), chaque ligne – c’est-à-dire chaque vers – est numérotée de 1 à 7 550.
2 – Il s’agit d’un acrostiche. Explication : l’initiale de chaque vers lu verticalement vous donne (en plus du poème lui-même) le texte complet de la Déclaration des Droits de l’Homme.
Cette déclaration commence ainsi : TOUS LES ETRES HUMAINS NAISSENT LIBRES ET EGAUX EN DROITS (….)
Vous pouvez en avoir un aperçu dans ce premier extrait.
Début du Poème acrostiche d’un kilomètre.
Ci-dessous : le prologue du poème.
1 Tant de tendres matins ont bleui dans les âges
2 Offrant aux aurores de nouveaux paysages
3 Un espoir qui pulsait tout au long des saisons
4 Saluant les enfants au lever des maisons
.
5 Les regards ont souri en pensant qu’un beau jour,
6 Empliront les journées, l’amitié et l’amour.
7 Sur la flamme du temps, le Destin cuisinier
.
8 En viendrait mijoter un futur plus altier,
9 Tresserait pour chacun des flambées de tendresse
10 Rutilant de baisers, d’éternelle jeunesse.
11 Et ouvrant le logis de son coeur en partage
12 Simplement chaque humain, par un même langage
.
13 Hisserait sans souci le panneau de son store,
14 Une main amicale et des rires encore
15 Mécheraient de soleil le matin des passants
16 Allumant des éclairs de rêves éclatants.
17 Il suffit qu’un Destin au fourneau de chaque âge
18 Nous forge des chemins dépourvus de nuages
19 Seulement ombragés de plaisantes ramures
.
20 Négociant des allées aux fraîches ouvertures.
21 Au pas de chaque homme le parcours de la vie,
22 Insufflé de douceur, serait toute harmonie
23 Scintillant de projets à bâtir en ce monde
24 Sous l’arcade vive de légères secondes,
25 Et chacun d’ériger l’avenir de son choix,
26 Nuancer tous ses mots à l’accord de sa voix
27 Tenu simplement à l’avenir qu’il s’invente
.
28 Lorsque vient le moment où la fièvre impatiente
29 Invite alors son âme soudain à construire
30 Bravement ce qu’il souhaite au reflet d’un sourire.
31 Rien alors ne viendrait à restreindre sa paix
32 Et le trait lumineux du chemin qui lui plaît
33 Sur la trame d’un rêve aux lueurs éphémères
.
34 Embrumé trop souvent d’improbables chimères.
35 Tous les peuples ont voulu atteindre le bonheur,
(……)
(D’autres extraits s’ajouteront au fil du temps.)
Pou en savoir davantage, voyez la page suivante :
Des parcelles d’espoir à l’écho de ce monde.
Autres extraits :