Agir pour la liberté de prescription de tous les médecins.
(Article de Patrick Huet)
Explication sur cette action.
Nous assistons en ce printemps 2020 à une situation hallucinante. Des médecins totalement dévoués à leurs patients, des médecins qui soignent et qui guérissent les malades du coronavirus et qui, pourtant, sont attaqués par quelques-uns de leurs confrères qui ont su grimper et s’installer à la tête de la hiérarchie administrative.
Ces médecins, dévoués aux grands labos et à l’industrie pharmaceutique plutôt qu’à leurs patients, travaillent d’arrache-pied pour interdire leurs confrères encore libres d’exercer en toute conscience de leur devoir.
Il existe un médicament qui, associé à un antibiotique, fonctionne parfaitement : l’hydroxychloroquine associée à l’azitromycine. Or, l’hydroxychloroquine se trouvant dans le domaine public, le laboratoire le plus modeste est en mesure de la fabriquer à un coût minime. Ce qui signifie aucun bénéfice pour la grande industrie pharmaceutique, laquelle prépare un médicament au coût bien plus substantiel.
C’est pour cette raison, entre autres, que sa prescription fut interdite par décret en mars dernier.
A cause de cela des personnes sont mortes faute de ces soins. Ce sont littéralement des meurtres par décision administrative !
Des raisons au jargon administrativo-médicale obscur sont avancées pour justifier cette interdiction.
Le patient se moque éperdument de savoir si l’on a rempli des feuilles et des feuilles d’études, si l’on a coché les petites croix par-ci ou par-là, ou si l’on a fait des études randomisées, atomisées ou baratinées.
Il existe un médicament qui associé à un antibiotique apporte une guérison, il n’a pas besoin de plus !
Une action collective de justice.
Devant une telle obstruction, où les finasseries administratives tiennent lieu d’argument pour interdire un des seuls moyens de guérison efficace, une association d’avocats s’est constituée pour mener une action collective contre l’Etat. Mais avant le dépôt de plainte, il est nécessaire de réunir suffisamment de personnes pour la première étape qui se somme « pré-plainte » .
Comment y participer ?
Vous pouvez y participer, en tant que simple citoyen, en vous inscrivant au site suivant : https://noublionsrien.fr/ (en inscrivant votre nom et votre adresse mail). Vous y trouverez aussi toutes les informations indispensables expliquant de la démarche et le but de cette action, ainsi que le portrait des avocats à l’origine de cette action.
Patrick Huet – écrivain.