Description de ce que sont les zombis, et la raison pour laquelle on en parle si souvent.
Plan de cette page.
- 1- Préambule.
- 2- Qu’est qu’un zombi ? (Le secret dévoilé.)
- 3- Pourquoi le corps des zombis est-il en état de décomposition ?
- 4- Un zombi est-il contagieux ?
- 5- Les zombis violents.
- 6- Pourquoi y a-t-il autant de zombis dans les films et les séries télé ?
- 7- Pourquoi l’armée des États-Unis a-t-elle effectué des manœuvres contre une attaque de zombis ?
1- Préambule.
Les zombis représentent une classe de personnages qui reviennent souvent dans les films d’horreur de ces dernières décennies. Mystérieusement (mais ce n’est pas un mystère pour celui qui se donne la peine de réfléchir), les cinéastes les font apparaître la plupart du temps dans les films à virus (films dont l’intrigue tient sur une seule grosse ficelle : il y a autour de nous un virus mortel qui va tuer tout le monde).
Y aurait-il quelque part un sponsoring des laboratoires (ou de leurs actionnaires) pour créer un terrain fertile à la terreur des virus dans la population ? (Poser la question, c’est déjà y répondre.)
Quoi qu’il en soit, il n’en demeure pas moins que le mythe du zombi existe depuis quelques centaines d’années, et qu’il serait bon d’en savoir davantage à leur sujet, ainsi que sur la raison pour laquelle les cinéastes (et leurs actionnaires) s’en saisissent avec passion pour terroriser nos rêves cinématographiques ou télévisuels.
2- Qu’est qu’un zombi ?
Un zombi (appelé zomble en anglais) est un personnage de la culture vaudou. Un culte originaire d’Afrique qui s’est installé avec l’arrivée d’esclaves africains dans différentes îles, notamment à Haïti. Le vaudou africain s’est adapté à ces nouvelles contrées et à la mixité avec la religion chrétienne pour lui donner une forme différente très spécifique à Haïti et aux îles proches.
Les films nous montrent les zombis comme étant des morts qui surgissent de leurs tombes pour s’attaquer aux vivants. (C’est aussi ce que voudraient faire croire les sorciers vaudou haïtiens pour rendre docile la population.)
Autant le dire tout de suite : c’est totalement faux.
Alors, qu’est-ce réellement qu’un zombi ? Le secret dévoilé !
Voici ce qu’est exactement un zombi.
On administre à une personne une drogue végétale très puissante et très toxique qui la plonge dans un coma si profond que toutes ses fonctions vitales (battement de coeur, pouls, respiration) sont momentanément stoppées ou tellement faibles qu’elles sont indétectables par un médecin ou une autre personne.
D’un point de vue extérieur, la personne paraît donc morte.
Or, comme il n’y a pas d’autopsie, pas de mises sous électroencéphalogramme (cela n’existait pas jadis, et de plus dans des pays d’une extrême pauvreté comme Haïti, la question ne se pose même pas), le médecin appelé sur les lieux établit un avis de décès.
La personne (nous sommes en Haïti, ne l’oubliez pas) est rapidement inhumée. Quelques heures plus tard, à la faveur de la nuit, le « sorcier » vaudou qui avait administré cette drogue déterre la victime. Il lui administre une autre substance qui réanime les fonctions de cette personne. Il lui faut agir vite, car s’il tarde trop, la personne meurt réellement. (En effet, une respiration ultra-minime peut maintenir en suspend les principales fonctions de l’organisme pendant quelque temps, mais sans véritable oxygène, il finit par mourir asphyxié;)
L’objectif de ce sorcier et du commanditaire de cette action (car vous pouvez être certain qu’il s’agit d’une commande pour x raisons, la vengeance, la jalousie, le besoin de travailleurs dociles), l’objectif donc est de faire croire à l’entourage de cette personne que celle-ci est morte, afin de l’employer comme esclave pour les travaux des champs.
Une fois la personne réanimée, il faut cependant qu’elle ne puisse pas retrouver sa lucidité d’esprit. Pour cela, il existe un autre type de drogues qui annihile sa volonté et la rend totalement docile. Une drogue administrée à intervalle régulier pour la maintenir dans cet état de stupidité (autrement, elle sortirait de son hébétement et chercherait à s’évader). N’ayant plus de volonté propre, la victime se déplace les yeux vides et le visage sans expression.
Le zombi, qu’il vaut mieux appeler par son réel état, une personne sous le coup d’une drogue, sert essentiellement comme ouvriers subalternes dans les exploitations agricoles. Bref, un esclave pour les travaux des champs.
Note. Les drogues utilisées depuis plusieurs siècles en Haïti ou en Afrique sont d’origine végétale. Toutefois, les drogues psychiatriques (même si elles portent des noms à consonance moderne, n’en sont pas moins des drogues, mais à molécules chimiques) provoquent parfois (et même souvent) le même effet. Une personne sous psychotrope se déplace d’une façon robotique qui lui vaut la qualification de « on dirait un zombi », un terme adéquat, car cela se rapproche quand même beaucoup à cet état de zombi (un être drogué incapable de facultés de raisonnement).
En parallèle aux drogues psychiatriques, les laboratoires occidentaux ont également mis au point d’autres substances chimiques qui annihilent la volonté d’un individu et le place sous contrôle de n’importe qui alentour. Entre autres, cette substance appelée la « drogue du violeur », que les criminels versent dans la boisson de leur future victime. Celle-ci exécute comme une somnambule, et sans aucune conscience de ce qu’elle fait, tout ce que demande son agresseur. C’est le même schéma que pour la production des zombis haïtiens, à la différence qu’ici la victime n’est utilisée que pour l’assouvissement d’un plaisir ponctuel. La victime se réveille le lendemain sans aucun souvenir. Mais durant le laps de temps où elle était sous l’effet de la drogue, elle était en fait un zombi.
Si le lendemain et les jours suivants on lui administrait encore et encore cette drogue, elle serait une esclave perpétuelle.
3- Pourquoi le corps des zombis est-il en état de décomposition ?
Si le zombi est souvent représenté comme squelettique et et le corps en partie putréfiée, c’est parce que le maître qui l’emploie comme marchandise sans valeur se soucie peu de son bien-être ou de santé.
L’esclave zombi n’est pas censé en sortir vivant, il est utilisé comme outil jusqu’à ce que mort s’ensuive. Le maître le nourrit donc juste minimum qu’il faut pour que l’organisme puisse se lever et travailler.
De plus, étant sous l’effet de cette drogue qui lui ôte toute sensation de douleur et toute faculté de raisonner, il est très maladroit et se blesse souvent. D’autre part, il ne sent pas la douleur de ces blessures et n’en prend même pas conscience. Les blessures, laissées sans soin, s’infectent puis se nécrosent, se décomposent et gagnent peu à peu les autres tissus et les autres organes. Dans les pays chauds ou tropicaux, comme Haïti, la décomposition survient très vite.
Sans vouloir à tout prix verser dans le sensationnel, des mouches qui ne sont pas chassées d’une blessure (parce que non senties et parce que la personne n’en a pas conscience) y pondent ce qu’elle pond dans toute nourriture avariée, et la suite vous pouvez la visualiser sans que j’aie besoin de décrire la scène (les œufs éclosent, des vers commencent à grignoter la chair, etc.)
Vu de l’extérieur par quelqu’un qui ne connaît pas le processus de la suppression de la faculté de penser par l’emploi de drogues, il pourrait penser qu’il s’agit d’un cadavre ambulant sorti d’une tombe.
Alors qu’en fait c’est un esclave sous l’emprise d’une drogue, incapable de penser ou de sentir quoi que ce soit, et dont les blessures laissées sans soin se sont infectées, nécrosées, gangrénées, et entament au bout d’un certain temps leur processus de décomposition.
Voilà ce qu’est un zombi, rien de plus !
Le maître esclavagiste fait travailler son esclave jusqu’à ce que l’organisme -trop faible pour se déplacer- s’effondre sur lui-même. Ne reste plus qu’à faire appel au « sorcier » local pour en acquérir un nouveau.
N. B. Il n’y a là rien de magique ou de surnaturel, mais une action criminelle commise en administrant des drogues.
Un résumé qui récapitule ce qu’est un zombi.
Un zombi n’est pas un mort qui sort de sa tombe pour manger les vivants. C’est une personne que l’on a fait passer pour morte par l’usage d’une drogue, que l’on utilise comme esclave pour les travaux des champs (par d’autres drogues qui la maintiennent dans un état d’abêtissement), et dont le corps se dégrade, faute de soins, au point que les blessures se nécrosent et décomposent peu à peu la chair. Le zombi est utilisé jusqu’à ce que son corps n’est plus la force de se relever.
Note. Un sorcier vaudou ne possède aucun pouvoir surnaturel. Si c’était le cas, ils n’auraient pas besoin d’utiliser des drogues. Cependant, il cherche à convaincre les autres qu’il détient un pouvoir occulte par tout un cérémonial (incluant des cous de poulet, des aiguilles et autres choses) afin de créer la terreur chez les autres. Ses seules armes sont donc : sa connaissance des drogues (et leur dosage pour ne pas tuer la victime destinée à l’esclavage) et sa capacité à terroriser ses interlocuteurs en les convainquant qu’il possède un « pouvoir occulte » (par un cérémonial approprié).
4- Un zombi est-il contagieux ?
Non. Un zombi est sous l’effet d’une drogue, pas d’une maladie.
Les films et les séries télé élaborent des scénarios dans lequel les zombis sont contagieux. D’après ces films (ou plutôt selon la volonté des cinéastes), il suffit d’un contact, une égratignure, une morsure de leur part, et hop, vous voilà qui vous transformez à votre tour en zombi.
Autant dire que c’est de la pure invention destinée à vous terrifier. Et ce n’est pas par hasard. Ils sont contagieux dans les films, parce que les financeurs de ces films le veulent. Les cinéastes ne travaillent pas sur leurs propres fonds, ce n’est pas de leur poche qu’ils payent les acteurs, les techniciens et le matériel. (Hormis un ou deux cas particuliers). Ils ne peuvent donc faire autrement que, de temps à autre, réaliser des films à virus, des films qui débordent de zombis et de morts-vivants contagieux. Il s’agit de la volonté des financiers.
Si jamais vous tombez sur un film de zombis, souvenez-vous toujours de cela : il s’agit d’un scénario conçu de façon à déclencher la peur des virus chez le spectateur.
En regardant ces films ou ces séries, rappelez-vous aussi que ce qu’on appelle un « zombi » n’est pas un revenant, mais une personne droguée à son insu et soumise aux ordres d’un maître esclavagiste.
Ce drogué risque-t-il de nous transmettre la drogue qu’on lui a administrée ?
C’est une question qui tenaille peut-être tous ceux qui ont regardé sans aucun recul des films à virus (film où l’intrigue repose sur la transmission d’un virus qui toue tout le monde).
On pourrait déjà y répondre par une autre question : combien de personnes en contact avec un héroïnomane, ou quelqu’un qui a pris du Crac, de la cocaïne (etc.) ont-elles été droguées à la suite de ce contact ? Aucune !
Mais comme cette réponse ne suffit peut-être pas à quelqu’un de vraiment traumatisé par un film à virus ou un film à zombis, détaillons cette question et nos réponses.
– Griffures.
En cas de griffures de la part d’un zombi (qui rappelons-le est une personne soumise à une drogue spécifique), celui-ci peut-il transmettre à la personne griffée la substance qui véhicule dans son organisme ?
Réponse : Les ongles sont des matières mortes. Aucun liquide ne coule dans les ongles, et par conséquent, aucune drogue. Donc non. Rien ne peut être transmis par le biais d’une griffure.
– La salive et les morsures.
La drogue qui circule dans l’organisme du drogué (appelé zombi) risque-t-elle de pénétrer dans votre organisme si jamais celui-ci vous mord ?
Réponse : Les glandes salivaires produisent un liquide appelé salive qui humecte la bouche et dont la fonction est d’une part de faciliter la digestion. C’est d’ailleurs sa principale fonction. D’autre part, la salive est un antiseptique, c’est-à-dire qu’elle détruit les bactéries qui pénètrent la bouche. Sa fonction n’est pas de transmettre quelque chose aux organes (comme le fait le sang), mais de préparer la digestion et de désinfecter l’intérieur de la bouche. (De ce fait, la salive peut aussi aider à désinfecter les blessures, voilà pourquoi, nous avons gardé le réflexe ancestral de porter à la bouche la partie de notre corps qui a été blessée ou qui a été violemment heurtée.)
Conclusion. La salive ne peut donc pas transmettre une drogue présente dans l’organisme du zombi. Ses seules fonctions sont de faciliter la digestion et de désinfecter.
– Une transmission par le sang est-elle possible ?
Réponse : La seule transmission possible d’une substance serait par l’inoculation du sang d’un drogué (le zombi) dans votre propre organisme. Ce qui n’est pas possible à moins que quelqu’un extraie du sang de ce « zombi » et vous l’injecte volontairement par seringue ou vous le fait avaler (ou encore que vous n’aspiriez le sang d’une de ses blessures).
Et même dans ces deux cas-là, la quantité de substance serait insuffisante pour briser votre volonté. Cela pourrait à la limite vous rendre malade quelques instants (car une drogue est, à la base, un poison), mais la quantité de drogue que vous avaleriez serait trop minime pour affecter vos facultés mentales.
Note. Retenez que pour garder à l’état de zombi les personnes soumises à ces drogues, les maîtres esclavagistes doivent leur en réinjecter régulièrement. Sinon, comme pour toute drogue ou tout psychotrope, ils se réveillent quand les effets de celle-ci se dissipent (eh oui, toutes les drogues se dissipent au bout d’un moment les héroïnomanes et les autres drogués le savent bien, eux qui doivent rechercher sans cesse de nouvelles doses pour retrouver leur état).
Ne gobez pas ce que racontent les films à zombi.
Ne gobez pas ce que veulent vous faire croire les cinéastes et leurs financiers. Aucune personne, aucun zombi, ne peut transmettre la substance présente dans son organisme. Même si un zombi vous mordait, vous ne deviendrait pas zombi pour autant. De plus, toute drogue se dissipe au bout d’un certain temps.
5- Les zombis violents.
Un zombi est-il violent ?
Autrement dit, va-t-il se précipiter vers vous ? Vous attaquer ? Vous arracher la tête ? Dévorer votre cerveau ? Vous arracher les entrailles ? Etc. À ce sujet, il convient de différencier les zombis d’origine vaudou (fait pour travailler) et les zombis sous drogue chimique moderne.
Les zombis d’origine vaudou sont incapables de violence, pour la bonne raison qu’ils sont sous le coup d’une drogue de soumission. Ce sont des esclaves exploités jusqu’à la mort de leur corps. Ils sont là pour accomplir des travaux subalternes et suivent n’importe quel ordre qu’on leur donne. Notamment vos propres ordres si vous en croisez un. Vous les commandez, et ils obéissent. Un point, c’est tout.
Les zombis violents.
Malheureusement, les laboratoires ont mis au point des molécules chimiques qui, non seulement brise la faculté de penser d’un individu, mais le rendent aussi ultra-violent.
Il existe plusieurs types de ces drogues selon le résultat que l’on souhaite.
Drogue de violence militaire.
Un certain type de drogue est à destination de « combattants ». Bref, des personnes engagées plus ou moins volontairement (parfois des enfants ou de jeunes adolescents) dans une armée rebelle. On leur administre cette drogue avant les combats. Ils n’ont plus aucune conscience d’eux-mêmes, ni de la douleur, ni de rien d’autre, hormis l’ordre initial donné par leur chef. Allez au front et tuez ! Ils ne se soucient même pas de se protéger des tirs adverses. Et donc, beaucoup tombent comme des mouches, malgré tout quelques-uns arrivent parfois à pénétrer dans le camp ennemi.
Une des drogues de combat militaire les plus utilisées s’appelle le Captagon.
Au Moyen-Orient, des tonnes de cette drogue sont envoyées régulièrement à destination des troupes « rebelles ». (On voit par cela que ces prétendues « guerres » de révolutions du Moyen-Orient ne sont que des manipulations provenant de l’extérieur de ces pays.)
Dans ce cas de figure, on peut effectivement nommer cette personne un « zombi ». Car c’est ce qu’elle est. Elle n’agit plus de sa propre volonté, mais sous l’influence d’une drogue.
Drogue de violence civile.
Un autre type de drogue de violence est utilisée dans la vie civile.
Ce sont des dérivés des tristement célèbres « amphétamines », une drogue chimique qui modifie la perception d’une personne. Les premières molécules ont été synthétisées en 1864 par un chimiste roumain. Elle a connu des « améliorations » pour la rendre encore plus néfaste. Nous n’entrerons pas ici dans les détails techniques et chimiques de sa composition, mais soulignerons seulement que les amphétamines ont donné lieu à plusieurs dérivées qui sont utilisées dans la vie civile en tant que drogue.
En effet, ces produits donnent un sentiment d’invulnérabilité. Toutefois, cet état est souvent accompagné de délires et d’angoisse. Durant une de ces crises, un individu peut être amené à croire qu’il est menacé et poursuivi par des êtres ou des animaux qui cherchent à le tuer. D’où le fait qu’il les attaque sauvagement pour « sauver sa vie ». En réalité, ces personnes ou ces animaux ne lui ont strictement rien fait. Mais, ce sont ces drogues qui développent en lui ces délires de persécution en occultant complètement ses facultés de réflexion.
Ces drogues dérivées des amphétamines s’appellent, entre autres, « flakka », « sels de bain », etc. Elles agissent rapidement, en quelques minutes, et leurs effets ne durent pas très longtemps, entre deux et quatre heures.
En résumé, ces substances annihilent toute conscience et déclenchent un mécanisme d’ultra-violence qui amène la personne à s’attaquer à tout ce qui passe dans son entourage, et parfois à elle-même, d’ailleurs (plusieurs se sont même livrés à des auto-mutilations horribles, je suppose qu’ils croyaient voir des bêtes sous leur peau, comme cela arrive parfois avec d’autres drogues). Il est très difficile de l’arrêter, car elle ne ressent aucune douleur et frappe continuellement.
En 2019, j’ai eu connaissance de cette drogue en France, à la suite d’un événement dramatique. En Rhône-Alpes, un jeune homme a offert une cigarette à un adolescent qui devisait avec quelques amis. Très vite, cet adolescent est tombé dans une crise de violence d’une telle ampleur qu’il a fallu l’intervention de policiers qui, même à plusieurs, ont eu du mal à le maîtriser.
Après analyse, on a découvert dans la cigarette la présence de cette drogue de violence. C’est ainsi qu’on a pris conscience qu’en notre propre pays, des individus étaient en train de diffuser cette drogue, car apparemment, ce n’était pas le premier cas de ce genre.
L’adolescent en question, une fois la drogue dissipée, ne se souvenait plus de rien de ce qui s’était déroulé durant la période où la substance était active. Un trou noir complet.
Qui serait assez fou pour diffuser une telle drogue de violence ?
Pour l’instant, c’est encore très rare en France et dans les pays occidentaux, mais vous pouvez être sûr qu’il ne s’agit que de tests. Un certain nombre de personnes, de services ou d’organismes seraient très intéressés par l’achat d’une substance qui permettrait de créer un chaos total à l’intérieur d’une région ou d’un pays donné. Déjà, à peu près tous les services secrets, de quelques bords qu’ils se trouvent seraient très intéressés. Ils auront toujours un argument pour justifier qu’ils sont dans le « camp du bien » et que tout doit être utilisé contre le « camp du mal ».
Là aussi, on pourrait nommer les victimes de cette drogue des « zombis ». Car, elles n’ont plus aucune faculté de raisonnement.
C’est cette catégorie de drogués qui correspondent aux « zombis des cinémas ». Rappelez-vous toutefois que, à l’instar de toutes les drogues, cette drogue de violence finit toujours par se dissiper au bout de quelque temps (2 à 4 h). Et que la personne sous l’effet de celle-ci n’est pas contagieuse (les policiers qui ont eu maille à faire avec eux ainsi que tous ceux qui ont été attaqués pourront vous le confirmer, ils ne sont pas devenus zombis.)
Conclusion au sujet de cette drogue de violence.
Les laboratoires qui ont inventé ces molécules chimiques sont des structures criminelles. Bien sûr, ils ne vont pas revendiquer la paternité de leurs crimes. Toutefois, il y a peu de chances qu’il s’agisse de laboratoires clandestins. Vu l’obsession des gouvernements à vouloir absolument deux choses : un – contrôler totalement leur population ; deux – déclencher des guerres d’expansion un peu partout (de nos jours de façon cachée), il y a de fortes chances que ces drogues de violence proviennent de laboratoires gouvernementaux des pays occidentaux. N’oublions pas que le LSD (une drogue très dure) a été favorisé et testé par la CIA. De même que d’autres substances toxiques ont été testées par la CIA dans des métros aux USA.
Les criminels à l’origine de cette drogue sont certainement aussi à l’origine de beaucoup d’autres substances toxiques circulant actuellement dans le monde. Il est temps de les arrêter, de les traîner en justice pour l’ensemble des actes qu’ils ont commis.
6- Pourquoi y a-t-il autant de zombis dans les films et les séries Télé ?
La réponse est simple. Parce que leurs financeurs le veulent. Ils veulent que les gens croient que les autres personnes sont des monstres cachés qui vont leur transmettre un virus de ceci ou de cela qui va les transformer à leur tour en des monstres horribles.
Et pourquoi auraient-ils créé la terreur des virus ?
Pour préparer les esprits à croire en l’existence d’un virus ultra-mortel qui se propage par un simple contact et qui va tuer les populations par centaines de millions. Et les amener ainsi à accepter toutes les restrictions aux libertés que nous avons connues. Les amener à accepter l’instauration d’une dictature pour « combattre ce virus qui nous décime ».
Certains commentateurs, scientifiques et politiques, ne s’en cachent même plus. On a entendu, en France, quelques-uns déclarer à la télévision que la démocratie et les Droits de l’Homme étaient un problème en cas de pandémie (et que par conséquent, il fallait les supprimer) pour des raisons « sanitaires »). Une pandémie qui, par ailleurs, n’existe pas dans la réalité, mais dans le montage médiatique et dans la mise en scène d’un scénario fictif.
À la suite du matraquage médiatique au sujet du covid-19, beaucoup de personnes, sous influence de ces films à virus, n’ont plus regardé la réalité (auquel cas, ils auraient aussitôt décelé le mensonge), mais ils ne voyaient que les images terrifiantes de ces films.
Quelques titres de ces films à virus.
La planète des singes (le premier opus du film tiré de la série télé) c’est un virus créé en laboratoire qui détruit l’espèce humaine.
Le labyrinthe. Le premier volet de cette trilogie est trompeur. Vous croyez être en face d’une question métaphysique (effacement des souvenirs, enferment dans un lieu donné sans pouvoir y sortir ni voir vos geôliers, etc.) et vous découvrez dans le second volet que ce n’était qu’un piège (très réussi je dois le reconnaître, car je m’y suis fait prendre) pour vous amenez à un déferlement de virus, de personnes qui se transforment en morts-vivants cannibales sous l’effet d’un virus très contagieux, évidemment fabriqué en laboratoire.
Cela ne vous rappelle-t-il pas ce qu’on essaie de vous faire gober avec l’affaire du covid-19, y compris le « virus échappé d’un laboratoire ». Pour plus de détail sur cette prétendue «fuite d’un laboratoire », voyez mon article : virus échappé d’un laboratoire ou nouvelle phase de manipulation des peuples ?
7- Pourquoi l’armée des États-Unis a-t-elle effectué des manœuvres contre une attaque de zombis ?
Rappelons que lorsqu’on parle de zombis, à notre époque, il ne s’agit pas de morts-vivants échappés d’une tombe, mais de personnes sous l’influence d’une drogue puissante qui les rend ultra violentes.
(Rien à voir donc avec les zombis vaudou qui, eux, sont des personnes soumises à une drogue d’obéissance et qui sont utilisées comme esclaves dans les champs. L’armée n’a rien à craindre de ces personnes qui obéissent à quiconque donne un ordre.)
Une structure, un service ou un pays, qui administrerait la drogue de violence à un groupe d’individus donné provoquerait dans cette ville un chaos de violence durant deux ou quatre heures (durée de cette drogue).
Il est bien que les services de police connaissent ce type de drogués et soient formés en conséquence pour les intercepter.
Maintenant, y a-t-il d’autres raisons aux manoeuvres militaires de ces derniers temps aux USA ?
Avec les gouvernements que nous avons sur terre, tout est possible. Par exemple, droguer un groupe d’individus et les lâcher dans une foule pour provoquer un massacre, et accuser un autre pays (ou une organisation politique dont on veut se débarrasser) d’en être la cause… Oui, ce genre de manipulation est totalement dans les possibilités des gouvernements de nos pays. Note. Un des pays qu’on accuserait serait bien sûr la Chine (puisque les États-Unis sont en train de préparer les esprits au déclenchement d’une guerre contre le bloc Chine-Russie).
Pour ma part, je pense que ce type de manoeuvres est davantage mené pour préparer les esprits des citoyens américains à une attaque de drogués (que la propagande médiatique appellera « attaque de zombis »), attaque élaborée par les propres services secrets américains à l’encontre de leur peuple, afin d’une part, de perpétuer la peur de l’autre. Et d’autre part, de justifier l’instauration d’une « loi d’urgence » permettant d’arrêter quiconque serait montré du doigt comme « zombi ». (Sous prétexte d’une arrestation préventive pour protéger le reste de la population.)
Vous me rétorquerez qu’un État ne pourrait jamais faire cela contre son peuple.
À cela, je répondrais, un État, non. Mais les criminels qui la dirigent, oui !
Conclusion au sujet des zombis violents.
Quoi qu’il en soit, et en dépit de tous les films de zombis que vous avez regardés, retenez que ces drogues se dissipent toujours au bout de quelques heures et qu’aucun drogué ne peut vous contaminer avec cette drogue. Un contact ou une blessure avec un drogué ne vous rend pas drogué.
Il faut pour cela l’ingérer (en la fumant par exemple ou en l’avalant). Donc, soyez rassuré sur ce point.
Toutefois, soyez très vigilant à propos de tout ce qu’on vous offre : boisson, gâteau, bonbons, cigarette, liquide de cigarette électronique. C’est par là qu’on drogue une personne à son insu.
(Auteur Patrick Huet.)