Le secrétaire général de l’ONU confirme : le covid comme prétexte pour établir des dictatures.

Déclaration fracassante au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, ce lundi 22 février 2021.

(Communiqué de Patrick Huet.)

Personne ne s’y attendait, mais c’est un coup d’éclat d’une ampleur considérable que vient d’effectuer Monsieur António Guterres, secrétaire général de l’ONU lors d’une visio-conférence tenue depuis Genève.

Entre divers sujets, il aborda celui des abus liés au coronavirus, et celui de la mainmise des géants d’Internet sur la liberté d’expression.

Voici ce qu’il dit textuellement. (Source que l’on peut vérifier sur le site de l’ONU).

1) Covid 19 : prétexte à l’établissement de dictatures.

Le Secrétaire général de l’ONU a déclaré que la pandémie était utilisée par certains pays, pour réprimer les « voix dissonantes ». Voici ce qu’il dit.

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales »

Il ajoute que ces restrictions liées à la pandémie ont servi d’excuse « pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques ».

« la désinformation mortelle a été amplifiée – y compris par ceux qui sont au pouvoir ».

Je crois qu’on ne saurait être plus clair ! La prétendue « pandémie n’est qu’un prétexte pour l’établissement d’une dictature sur l’ensemble de la planète.

2) La censure et les manipulations des géants du Web.

Le chef de l’ONU nous alerte sur le fait que les habitudes des populations deviennent « des marchandises qui sont commercialisées comme des contrats à terme ». Que les données sont utilisées pour « façonner et manipuler nos perceptions, sans que nous ne nous en rendions compte ». « Tout cela n’est ni de la science-fiction, ni une anticipation dystopique de ce qui pourrait survenir au XXIIe siècle. Cela se passe ici et maintenant ».

Dans sa mise en garde contre la puissance des plateformes numériques et contre l’utilisation et l’abus de données, il conclut par :

« J’exhorte tous les États membres à placer les droits de l’homme au centre des cadres réglementaires et de la législation sur le développement et l’utilisation des technologies numériques ».

(source : les extraits ci-dessus proviennent de la vidéo du secrétaire de l’ONU dont la traduction est directement sur le site de l’ONU, à cette adresse :

https://news.un.org/fr/story/2021/02/1089912

Note importante : Le secrétaire de l’ONU aborde bien d’autres sujets qui peuvent parfois heurter la sensibilité de quelques-uns. Pour ma part, la seule chose qui m’intéressait c’était ses déclarations sur l’établissement d’une dictature sous le prétexte du covid. Ce point de vue est développé vers la fin du texte. Vous les trouverez deux paragraphes avant le chapitre « Pour un avenir numérique sûr, équitable et ouvert. »

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