A lire : Extrait du roman de science-fiction Le château des Véraliens
Voici un extrait du roman de science-fiction écrit par Patrick Huet. Son titre : Le Château des Véraliens.
Plan de cette page.
1- Sujet et présentation brève du roman.
2- Extrait à lire.
3- Où trouver ce livre ?
4- Pour acquérir les 100 premières pages gratuitement.
Sujet et présentation brève du roman.
A la suite d’une effroyable guerre, les Véraliens, un peuple venu d’ailleurs, ont soumis les humains à leur domination.
Dans les villages retirés, ils assoient leur emprise sur deux outils :
* Le premier : en plaçant dans chaque cité un Véralien, nommé le Résident, chargé de sa gestion.
* Le second : Par le fonctionnement d’un capteur. Lors du décès des habitants, le Résident, utilise un appareil de haute technologie pour capter l’âme du défunt. Celle-ci est alors transférée au siège de leur communauté (un château), soumise à des rayons hypnotiques d’oubli et d’asservissement, puis intégrée dans un robot androïde pour servir de personnel de combat ou de travaux subalterne.
Note. C’est dans ce château que s’éveille Rony, le héros de l’histoire, et qu’il s’évade.
Copyright.
Si vous souhaitez diffuser à votre tour l’extrait que nous publions, vous pouvez le faire à condition de mentionner le nom de l’auteur « Patrick Huet » et d’effectuer un lien soit vers cette page, soit la page de présentation du livre (toujours sur ce site), ou encore vers une plateforme ou une librairie qui diffuse ce roman.
2- Extrait à lire.
L’extrait suivant provient du chapitre 5 intitulé « Double meurtre ». Nous le publions ici avec l’autorisation de l’auteur « Patrick Huet » .
Début de la lecture.
Trad regarda avec colère le garde véralien sur le pas de sa porte. Ses lèvres pincées révélaient une humeur noire. Son rival en amour s’était évadé, il avait perdu une quinzaine de bêtes dans le tunnel et avait eu le plus grand mal à se défaire d’une des araignées. Il n’avait réussi à se sauver que par le sacrifice d’un de ses loups. Ce Rony était un démon ! Il avait probablement terminé son existence dans le repaire de ces dévoreuses, mais cette idée ne le réjouissait qu’à moitié. Il aurait de beaucoup préféré en user à sa guise, éternellement.
La matinée avait pourtant bien commencé. Un de ses espions, un hibou qu’il avait tué deux jours auparavant, avait parfaitement accompli la mission qu’il lui avait assignée : repérer les êtres vivants qui passeraient à proximité du tertre et les entraîner dans des fosses creusées à cet effet, puis l’en avertir. Rony n’avait pas suivi le hibou jusqu’au bout. Il avait néanmoins commis l’erreur de s’endormir dans une des ouvertures du tertre. Trad n’avait plus eu qu’à le capturer.
Il se maudit de s’être laissé emporter dans ses fanfaronnades sans avoir pris soin de s’assurer de l’immobilité de Rony au préalable. Faire étalage de sa puissance en le libérant des loups qui le surveillaient, c’était une bêtise incommensurable. Il n’eut pas de pensées assez dures envers le monde en général. Il en voulait à tous de sa déconfiture et en particulier à ce garde-robot qui avait l’audace de s’adresser à lui comme à un subalterne. Un sourire maléfique étira ses minces lèvres à l’évocation de ce qu’il leur imposerait lorsque les rôles seraient renversés. Il était impatient de se dévoiler au grand jour et d’annoncer aux hommes et aux Véraliens qu’il n’existait qu’un seul chef et qu’il leur faudrait désormais se soumettre à sa volonté.
— Qu’y a-t-il ?
Impassible face au ton rogue, le garde-robot lui tendit avec la rudesse propre à sa fonction un rouleau de parchemin. Trad le décacheta et émit un sifflement de colère à sa lecture. Le Bourgmestre le convoquait d’urgence. Il posa la main sur la poignée de la porte et se retourna. Le gros magistrat attendrait, il ne se sentait pas d’humeur à se montrer conciliant avec l’administrateur des Véraliens.
— Vous devez venir, maintenant !
Le menton de Trad jaillit de fureur. L’outrecuidance du garde-robot dépassait les bornes.
— Comment ? Je suis auxiliaire du Résident, pas un de ces minables de paysans !
— J’ai ordre de vous conduire chez le Bourgmestre, de gré ou de force.
Le fusil du garde se braqua sur la poitrine de Trad. Il ravala sa colère et répliqua sur un ton plus anodin.
— D’accord, je m’y rends sur-le-champ. Inutile de m’accompagner, je connais le chemin.
Le garde lui emboîta cependant le pas, le fusil toujours pointé sur son dos.
3- Où trouver ce livre ?
Ce livre est disponible en librairie, sur les plateformes Internet, sur notre site et directement auprès de l’auteur.
Voici une plateforme : Les Véraliens.
La page d’achat de notre site : Le Château des Véraliens
Vous pouvez aussi contacter directement l’auteur (voir la page de contact).
4- Pour acquérir les 100 premières pages gratuitement.
Pour vous permettre de découvrir ce roman tout à fait original dans son sujet, Patrick Huet vous offre les cent premières pages gratuitement. Il vous les enverra par email au format PDF.
Il vous suffit d’en faire la demande. Voyez à cet effet, la page « contact » située dans le menu.