Les témoignages des voisins de la villa de Puff Daddy qui vient d’être arrêté (sous l’accusation de trafic d’êtres humains) sont formels sur ce point.
Ils ont vu des cars d’enfants s’arrêter chez le rappeur, mais aucun de ces enfants n’en est jamais ressorti.
Où sont-ils passé ? On parle ici de meurtres en réunion sur des enfants.
Puff Daddy (rappeur milliardaire et homme d’affaires) est actuellement emprisonné au USA, et le FBI perquisitionne ses différents manoirs. Le juge chargé de l’affaire a refusé sa libération sous caution (il avait proposé 50 millions de dollars), statuant qu’au regard de la puissance de son réseau, il serait capable de faire pression sur les témoins et sur les plaignants, voire de les éliminer.
Ce que faisait Puff Daddy.
Pour rappel, le rappeur Puff Daddy, qui se nomme désormais P. Diddy, organisait dans ses propriétés des festivités « drogue et sexe » appelées « freak off » ou « Combs’s parties ». Des « fêtes » qui s’étirent sur plusieurs jours au cours desquelles les drogues et l’alcool coulent en abondance, mais aussi toutes les dérives sexuelles que l’esprit peut imaginer.
Usage également dans ces « freak off » de drogues sur de jeunes mineurs et sur d’autres personnes pour les soumettre à des abus sexuels contre leur volonté. Exploitation financière aussi de ces mineurs.
Le tout filmé (à l’insu des participants) par des nuées de caméras disposées à tous les étages.
L’effroi du Tout-Hollywood.
Beaucoup de célébrités des affaires, de la politique et d’Hollywood participaient à ces « freak off ». Et ces célébrités pas très malignes, se croyant à l’abri de toute poursuite vu leur haute situation, et pressées qu’elles étaient de participer à ces soirées d’orgie, ne se sont pas souciées une seule minute qu’elles pouvaient être filmées.
Résultat.
Maintenant que le FBI enquête sur cette affaire et visionne évidemment toutes ces vidéos, nos célébrités, si avides de parler de faire la leçon au grand public, tombent dans la panique la plus complète.
Ce qui se passait vraiment dans ces soirées de P Diddy.
Oh, non ! Ce n’étaient pas juste quelques relations adultères agrémentées de musiques et d’alcool.
Si ce n’était que cela, les « élites » ne seraient pas aussi paniquées.
On évoque là des personnes à qui l’on a injecté des drogues de soumission pour les amener à accepter des actes sexuels dégradés et multiples.
Des témoignages comme ceux de Justin Bieber et de quelques autres jeunes chanteurs nous dévoilent l’existence d’un réseau très organisé qui amenait de jeunes garçons à ces « festivités » où ils étaient abusés sexuellement.
Disparitions d’enfants – meurtres et actes de tortures.
Quand on descend dans le gouffre du sordide, il n’y a plus de fond à l’horreur.
A partir d’un certain point, les actes dégradés suivent la même pente que la consommation de drogues : il leur en faut toujours plus.
Après la sodomie forcée et les coups de fouet, on en arrive au sang… et au meurtre.
Rappelez-vous les témoignages des voisins de P Daddy : des enfants arrivaient par cars entiers lors de ces « festivités » – mais aucun d’entre eux n’en ressortait jamais.
En lisant leurs témoignages, on ne peut que se remémorer ceux de nombreuses autres victimes de ce type de « soirées » qui ont un mal fou à se faire entendre par la justice.
** On ne peut que se souvenir aussi du témoignage de ces femmes dans le documentaire « Les survivantes » qui rapportent les viols et actes de tortures dont elles avaient fait l’objet durant leur enfance.
Elles relatent aussi comment elles ont été forcées de tuer d’autres enfants plus petits si elles ne voulaient pas continuer d’être torturées.
** On ne peut que se souvenir du témoignage de cette juge (dans une émission d’Elise Lucet) qui déclarait que des charniers d’enfants avaient été découverts dans la région parisienne et qu’elle enquêtait justement sur ces charniers. (Juge qui, dès le lendemain de cette émission, a été écartée de l’enquête et sanctionnée.)
** On ne peut que se souvenir aussi du témoignage de toutes ces femmes victimes de viols et de torture après la découverte de l’affaire Dutroux en Belgique et le témoignage des premiers enquêteurs. Ces femmes sont toutes mortes dans les mois qui suivirent leur témoignage, tandis que les premiers enquêteurs ont été écartés.
Faire face à l’horreur de la torture sur enfants pour l’empêcher de se renouveler.
Il est insoutenable de penser que des enfants sont violés, torturés et massacrés lors de « festivités » organisées par les plus hauts personnages de nos sociétés – pas seulement en France en Belgique et aux USA, mais certainement dans de nombreux autres pays.
Mais il est indispensable que l’on regarde en face la réalité monstrueuse de ce qui se déroule.
C’est en y faisant face qu’on pourra mettre fin à cette horreur.
Mettre fin au système de chantage mondial.
Ces « festivités » de drogue, de sexe et de meurtres sont un des systèmes où l’on entraîne progressivement les cadres de la civilisation (des médias, de la culture, des affaires, de la politique, de la justice) afin de les maintenir dans un étau de chantage réciproque.
Un être normal ne va pas commettre des meurtres sur enfants. Ce n’est qu’après une longue descente dans le domaine des drogues et du sexe que peu à peu il en devient addictif et va accepter d’aller un peu plus loin, toujours plus loin jusqu’à tomber dans l’immonde – la torture et le meurtre.
Voulez-vous savoir pourquoi les grands de ce monde semblent tous être d’accord pour imposer à leurs peuples un régime totalitaire ?
Parce qu’ils sont tous tenus dans un système de chantage où se mêlent la drogue, les activités sexuelles dégradées et les actes de torture allant jusqu’aux meurtres d’enfants lors d’ignobles « festivités ».
Dévoilons ces meurtres au grand jour.
Si nous voulons sortir de ce chemin d’oppression et de restrictions constantes de nos libertés, il nous faut auparavant mettre fin au système de chantage mondial.
L’horreur est telle qu’il paraît impossible que quelque chose de pareil puisse se produire chez nous et dans les pays voisins. Et pourtant la réalité est terriblement brutale.
Alors, aidons les porteurs de témoignages à faire avancer leur dossier. Et insistons pour que les juges fassent leur travail d’investigation au lieu de bloquer ces dossiers.
La vérité doit sortir enfin en plein jour !
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