Blog

Prévision d’un cimetière gigantesque à Lyon : on se pose des questions !

La métropole de Lyon avance comme argument la saturation de ses deux cimetières d’ici six ou sept ans pour justifier la construction d’un nouveau cimetière aux dimensions gigantesques : 14 hectares – soit 140 000 m².

Pourquoi un cimetière aux dimensions aussi considérables ? Certains se posent la question. Comme ils me l’ont posée d’ailleurs au cours d’une manifestation sans que je puisse leur apporter une réponse adéquate.

Bref, leur interrogation était la suivante : la saturation des cimetières d’ici six ans justifiait-elle qu’on bâtisse un nouveau cimetière (géant) dès maintenant ? Ou était-ce un argument pour voiler un objectif plus sombre ?

Avant de continuer plus loin et d’essayer de répondre à cette question, voyons d’abord quelques faits.

Qu’est-ce qu’une métropole ? Ou encore une agglo ? Une communauté de communes ?

Si vous faites une recherche, vous trouverez une foule de documents administratifs très détaillés.

Mais la vérité, c’est que les métropoles sont une création administrative dont l’unique objectif est d’ôter aux communes (villes et villages) leur autonomie pour transférer leur autorité à une seule personne, le président de la Métropole. Il ne leur reste que quelques bribes d’initiative, mais l’essentiel du pouvoir est alors détenu par le président de la métropole.

Ainsi lorsque le gouvernement décide quelque chose (surtout une chose qui viole les libertés fondamentales des individus), il n’a plus besoin de convaincre 36 000 maires. Il ordonne, et les présidents de métropole ou d’agglo exécutent ses ordres pour l’ensemble des communes sous leur tutelle. (En principe, les présidents de Métropole sont autonomes, mais vous savez bien que tout cela c’est du virtuel, dans les faits, à ce niveau de la machine administrative, les protestations, quand il y en a, ne sont que de la poudre aux eux.)

Il est à noter que l’intégration des communes (villes et villages) dans une métropole s’est toujours faite dans le dos des habitants. A aucun moment, on ne leur a présenté de référendum, par exemple. Et pour cause… Jamais ils n’auraient accepté de se laisser déposséder de leur autorité pour se placer sous la tutelle d’une métropole qui décide à leur place.

Le cas du cimetière de géant de la métropole de Lyon – et la dépossession du pouvoir des maires.

Le cas de ce futur cimetière géant résume cette dépossession du pouvoir des maires au profit de la métropole qu’ils ont intégrée.

La métropole a décidé que 14 hectares de terres agricoles seraient saisis sur la commune de Charly (à 20 minutes de Lyon). Point final. Le maire de Charly en fut abasourdi. Il a eu beau protester, ce serait comme cela, c’est tout. Il a fallu la protestation des habitants, largement unis, l’ouverture d’une pétition, et d’autres actions, pour que la Métropole décide, non pas de revenir en arrière, mais de réétudier le dossier. Sachant qu’elle peut, lorsque la colère se sera essoufflée dans quelques mois, reprendre son projet.

Combien y a-t-il de cimetières à Lyon ?

Cette question qui me paraissait simple au départ est devenue plus compliquée lorsque j’ai voulu chercher la surface des cimetières de Lyon à la date d’aujourd’hui.

Etant Lyonnais, je sais bien qu’à Lyon, nous en avons six. Le cimetière de la Croix-Rousse, le cimetière de Saint Nizier, le cimetière de Loyasse, le cimetière de Saint Rambert, le cimetière de la Guillotière et le cimetière juif de Lyon. Les musulmans disposant d’un carré dans un cimetière général.

Mais voilà qu’au cours de mes recherches, je note que la Métropole dispose de deux cimetières. Celui de Bron et celui de Rillieux. Surprise ! Apparemment, il doit y avoir une différence entre les cimetières de la ville et les cimetières de la métropole (puisque les six cimetières de Lyon n’en font pas partie, pas plus que les cimetières des communes environnantes).

Donc, nous avons là un point à creuser. Dès que j’en saurais davantage, je vous en ferais part. (De même si vous avez une information à ce sujet, n’hésitez pas à nous la communiquer).

Pourquoi connaître la surface des cimetières existants ?

14 hectares (soient 140 000 m²) pour un cimetière, cela me paraît à priori gigantesque. Mais l’est-il tant dans la réalité ? Pour cela, il me faut un point de comparaison. Je ne peux rien conclure si je ne sais pas si ces 140 000 m² de cimetières sont disproportionnés ou pas.

J’avoue que pour l’instant, je n’ai pas pu accéder à la surface des cimetières existants.

Y a-t-il d’autres cimetières géants en cours de construction ?

C’est la seconde information qu’il m’est nécessaire d’obtenir pour en tirer une conclusion.

Parce que si dans d’autres communes des cimetières d’un format hors norme sont en cours de construction, alors là, oui, il y a matière à s’inquiéter. Parce que cela signifierait que les autorités organisent dès à présent l’enterrement de millions de personnes à très très court terme.

Et dans ce cas là, ce ne sera pas pour les morts d’un prétendu virus dont on nous rebat les oreilles (dans le but de nous terrifier et d’abolir tous nos droits), mais bien pour accueillir des avalanches de décès causés par les injections toxiques que les autorités veulent nous administrer de force.

Il est donc important que nous sachions si d’autres cimetières géants sont en construction ou en projet. Merci à vous de nous en faire part soit dans les commentaires, soit par mail… ou sur les forums que vous fréquentez habituellement.

(Pour le moment, ne disposant pas de ces informations, je ne peux rien conclure dans un sens ou dans un autre. Je compte donc sur votre aide pour nous aviser de ces constructions si vous en avez connaissance.)

Ce qui éveille les soupçons.

Un point particulier éveille les soupçons. La surface.

Quand on compare avec les parcs existants, la surface du prochain cimetière est disproportionnée. A titre d’exemple, l’immense Parc de la Tête couvre 117 hectares. Ce qui représente une circonférence de plusieurs kilomètres.

Le nouveau cimetière, avec ses 150 ha et ses 4 ou 5 km de circonférence, pose question. Et on devrait se les poser maintenant.

Note sur le corana, le covid et la grippe.

Ne gobez pas les mensonges des labos (qui sont aux manoeuvres derrière les politiciens et une poignée de médecins corrompus). Les grippes, les pneumonies, les affections pulmonaires (d’un ordre ou d’un autre) sont fréquentes durant les mois d’hiver. Il ne s’agit pas dune maladie nouvelle.

Quand j’étais au lycée, par exemple, tous les hivers, la moitié de la classe était absent au moins une semaine à cause de la grippe. Ils revenaient une semaine après et c’est tout. Je me souviens même d’une copine qui crachait dans son mouchoir de temps à autre. Je l’ai embrassée et je n’ai jamais été malade.

Voici plusieurs années, en 2014, je crois, j’ai attrapé une grippe sévère. Les fosses nasales gonflées à l’extrême ne me permettaient plus de respirer normalement par le nez. J’ai trouvé une technique pour dormir. Je sommeillais, assis, le dos contre la cloison, un chiffon derrière la tête, grappillant quelques minutes de sommeil. La phase la plus sévère a duré deux jours, l’ensemble de la période environ trois semaines avant que tout ne revienne à la normale.

Alors, je comprends que certains paniquent, parce qu’ils ont de la difficulté à respirer ou qu’ils voient des proches qui sont atteints d’une telle affection. Mais il ne s’agit pas d’un virus mortel, et encore moins de cette imposture qu’ils ont appelée covid. Il s’agit d’une grippe qui revient chaque hiver et qui vous cloue au lit durant quelques jours ! Toutefois, sous le matraquage publicitaire des médias, vous avez oublié que les grippes (et les autres affections pulmonaires) agissent parfois de cette façon quand votre organisme ne dispose pas des éléments nécessaires pour faire face aux agressions (vitamines C et D, zinc, oligo éléments, etc.) ou que vous êtes déjà épuisé physiquement par une surcharge de travail considérable durant une longue période sans repos suffisant.

Alors, arrêtez de paniquer ! Rappelez-vous plutôt des autres fois ou avez attrapé la grippe, que vous n’êtes resté que quelque jours chez vous et, qu’après, vous êtes retourné (bien que toussant et fatigué à l’extrême) soit à l’école soit au travail.

Patrick Huet.