Quand on refuse en bloc, on gagne !
L’exemple de la Martinique montre bien que lorsque les professionnels refusent en bloc, ils gagnent toujours. Mais quand beaucoup se soumettent au chantage et aux menaces (ici de perdre ses revenus), alors non seulement, ils perdent pour eux, mais ils font perdre tous les autres.
En Métropole : Les soignants, les salariés des hôpitaux et des ehpads, les restaurateurs et leurs employés, les cafetiers, les organisateurs de salons et de spectacles, les propriétaires de cinéma et de théâtre, devraient s’en inspirer et refuser ce chantage.
C’est parce que vous obéissez que la dictature continue ! C’est votre obéissance qui crée la dictature.
Quand on refuse en bloc, on gagne ! Quand on se soumet par peur de quelque chose, alors on perd ! Alors, refusez le chantage et les menaces !
Voici ce qui s’est passé en Martinique.
La situation : le chef de l’Etat a ordonné (en violation totale de la Constitution) le 12 juillet dernier à tous les soignants l’injection d’une substance biologique (chargée entre autres de nano-particules) appelée « vaccin » pour en cacher la nature. S’ils ne s’exécutaient pas, les soignants seraient suspendus sans salaire. En résumé « vous vous faites injecter cette substance ou vous votre employeur ne ne vous paye plus« .
En Métropole, une grande partie des soignants ont choisi la soumission, ils ont choisi de céder à cette menace plutôt que de résister. En arborant parfois dans les manifs la mention « Soignant vacciné pour pouvoir manger« . Ce dont se moquent éperdument les actionnaires des labos. Que vous vous faites injecter avec de la joie dans le coeur ou avec des pleurs, ce n’est pas leur souci. Leur objectif, c’est votre soumission et votre injection !
En Martinique, au contraire, les soignants ont fait bloc contre ce chantage. Cela n’a pas été facile, il y a eu des heurts parfois avec les forces de l’ordre. Au CHU de Martinique (Centre Hospitalier), plus de 600 soignants ont exercé leur droit de retrait. Ils se sont interposés à l’entrée du Centre Hospitalier dont les vigiles devaient demander aux soignants de présenter un pass sanitaire. Des policiers ont été dépêchés sur les lieux, mais les manifestants ont refusé de se plier aux ordres venus du préfet.
Très vite, une partie de la population a rejoint les soignants. Cependant, elle est restée à l’extérieur et s’est rassemblée pacifiquement pour un sit-in devant le CHU (800 personnes selon la police, ce qui signifie certainement trois ou quatre fois plus dans la réalité). Résultat : le directeur de l’hôpital, le préfet ainsi que le gouvernement ont été obligés de renoncer.
Victoire des Soignants et des citoyens qui ont fait bloc ensemble !
Dans une note d’information datant du 18 octobre, le directeur du CHU de Martinique a décidé de ne plus exiger du personnel hospitalier le pass sanitaire ou une preuve de vaccination pour entrer dans l’hôpital.
Unis, solidaires et pugnaces… c’est le seul moyen de gagner face à la dictature ! Que la métropole prenne exemple sur la Martinique ! Que les autres corps de métiers (restaurateurs, spectacles, cinéma, etc.) s’en inspirent.
Notre objectif Retour à toutes nos libertés ! (Sans aucune condition).
(Patrick Huet.)