Bill Gates fait tout pour torpiller l’hydroxychloroquine.
(Article de Patrick Huet).
Tous ceux qui se tiennent au courant des actualités savent désormais que le fondateur de Microsoft n’a qu’une seule idée en tête. Pas la guérison des habitants de cette planète, pas leur bien-être vers un niveau de vie plus décent, non… leur vaccination.
C’est son but, son oeuvre, sa vie : injecter dans les veines des sept milliards d’habitants de cette planète les doses de vaccins préparés par les labos qu’il soutient (et dont il détient par ailleurs des actions par l’intermédiaire du trust sur lequel s’adosse sa Fondation, trust dont il est le seul gérant avec sa femme Melinda).
- Leur apporter des aliments sains et vitaminés ? Non.
- Leur permettre de renforcer leur organisme par une alimentation équilibrée pour qu’ils ne tombent pas malade ? Non.
- Leur permettre de se soigner quand ils sont malades ? Non
- Leur vaccination, et c’est tout ! Et qu’ils ne se demandent surtout pas quelle est la composition de ces vaccins !
Combattre tout traitement efficace.
Vous comprendrez aisément que lorsque le Professeur Didier Raoult (premier spécialiste mondial en maladies infectieuses) utilisa contre le coronavirus un traitement (qui existait déjà depuis plus de cinquante ans) selon un protocole (un mode d’emploi) qui s’avéra efficace, tous les plans montés par ce joli monde (Bill Gates, sa Fondation, ses labos et l’OMS (qui disposait d’un relais solide dans les appareils d’Etat de presque tous les pays) et dont il est le premier financeur), tout ce joli monde fut décontenancé.
De l’OMS à la Fondation Bill et Melinda Gates, tous les médias et toutes les personnalités inféodés à leur emprise (ou leur argent) s’allièrent pour tenter de détruire la réputation du Professeur Raoult, puis ses études.
Leur objectif : vacciner, mais ne surtout pas guérir.
Je passe sur tous les rebondissements pour me concentrer sur la principale chose à retenir. S’il existe un traitement qui permet de guérir, leur projet tombe à l’eau. Nul besoin de vacciner, nul besoin d’espionner toute la population (pour ce qui du reste n’est qu’un virus très bénin – voir l’article ici : Lien).
Conclusion : utiliser tous les moyens possibles pour « prouver » (en faussant les résultats que l’hydroxycloroquine est toxique. C’est ce qu’ils ont réussi à faire avec l’étude Recovery.
Mais pour s’assurer que les scientifiques restent dans la ligne définie par les laboratoires, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui finança leurs études. Autant dire que les résultats étaient courus d’avance.
L’article que je vous reproduis ci-dessous provient du blog de Patrice Gibertie et vous en fournit les détails. Lien vers cet article : Lien.
Voici l’article. Auteur Patrice Gibertie.
Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine
Publié le 6 juin 2020 par pgibertie
La plaisanterie macabre continue, au moment où éclate le scandale de Surgisphère et de ses études foireuses , la presse se réjouit de l’arrêt de l’étude britannique « recovery ». Un autre scandale ; les Anglais ont suicidé les malades en donnant des doses considérés comme quasi létales en France.
Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston ( Lancetgate).
Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.
📍Ce n’est pas la peine d’aller plus loin dans l’analyse de cette étude qui prescrit des quantités considérées comme sur-dosage par notre propre ANM et entrainent d’être hospitalisé immédiatement. Même sans être positif à la Covid 19 vous vous retrouverez directement à la case Urgence. (M Plaza)
Le professeur Perronne dit :
« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour »
4 fois plus ! Ce que prennent les candidats au suicide .
Ajoutons le nombre spectaculaire de cardiaques (25%) qui auraient du être exclu de l’étude …
Des malades âgés et très malades , placés sous oxygène (76% des patients qui nécessitent un apport en l’oxygène, avec 27% de diabétiques, 27% de malades avec des problèmes cardiaques et 22% avec des affections pulmonaires.)
La seule surprise dece suicide organisé : les Anglais ont la peau dure ! seulement 25% de morts parmi les hospitalisés (18% en France ) .